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 Une muse appelée rosée [Terminé]

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Troupe des Carpates | Héritier d'un peuple, Gardien de tous
Edwin de Cors

Edwin de Cors

Troupe des Carpates | Héritier d'un peuple, Gardien de tous

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MessageSujet: Une muse appelée rosée [Terminé]   Une muse appelée rosée [Terminé] EmptyMer 18 Mar - 19:10

[Si vous voulez participer à ce sujet dites le moi par MP, sinon je le ferais seul pour me mettre bien dans le personnage Wink ]


      " Allons faire un tour Arod. "


    La bête sombre, encore engourdi de sommeil renacla. Impossible de savoir si c'était un conssentiment ou non. Edwin déposa délicatement une selle d'un autre âge sur le dos du cheval, il savait que l'animal était toujours mal luné si on le réveillait trop brusquement c'est pourquoi il entreprit de le réveiller en étirant les muscles de ses pattes. D'abord réticent Arod le laissa faire et bientôt ses yeux furent totalement ouverts et attentifs. Satisfait, le jeune homme flatta l'encolure de l'animal attrapa le filet et entreprit de l'accrocher comme il se doit sur la tête du cheval. Tandis qu'il faisait cela la porte de la vielle roulotte s'ouvrit pour laisser le passage à Ysatis. Comme d'habitude l'aveugle avait sû qu'il allait s'évanouir dans la nature et venait pour les dernières recommandations. Edwin ne dit mot, attendant qu'elle parle la première, ce n'est que lorsqu'il finit d'attacher le filet que la femme se trouva près de lui.

      " Prend garde à toi. "


    Avec un sourire rassurant que la femme ne pouvait voir mais sentait aisément, le jeune homme entreprit de détacher Arod tout en lui répondant.

      " Ne t'inquiète pas, je reviens toujours. "


    Il passa les rênes par dessus l'encolure de l'animal et passa sur son flanc gauche pour pouvoir grimper.

      " Je n'aime pas te voir disparaître, je n'arrive jamais à savoir ce qui peu t'arriver lorsque que tu t'enfonces en forêt. "

    Edwin grimpa souplement sur l'animal qui cette fois était totalement réveillé et piaffait d'impatience. Il le retint d'une poigne sur mais douce.

      " Je serais de retour avant la fin de la journée. Tu n'as pas le droit de t'inquiéter avant. "


      " Tu arriveras à nous retrouver ? "


      " Je vous retrouves à chaque fois Ysatis. "



    Il l'a gratifia à nouveau d'un sourire et effleura doucement sa joue du bout de ses doigts libres, puis il relâcha ses rênes ce qui fut le signal de départ d'une cavalcade dans la campagne Bretonne mené par un Arod finalement bien heureux de se dégourdir les jambes. La roulotte s'éloigna rapidement tandis que le soleil faisait son apparition au bout de la plaine. Les rayons rougeoyants du soleil donnèrent une étrange couleur aux cheveux du Edwin qui prenait grand plaisir à cette cavalcade matinale. Le vent frais, était vivifiant et faisait voltiger sa cape noire de voyage, tandis que le soleil réchauffait la nature encore ensommeillé et recouverte de rosée. L'allure d'Arod ralenti lorsqu'il prit la direction de la forêt, l'animal connaissait par cœur son cavalier et savait pourquoi il avait été réveillé si tôt. Avec un sourire amusé Edwin laissa l'animal choisir la direction plus le temps passait plus sa communion avec l'animal devenait forte. Le couple fut bientôt au petit trot et passa sous le couvert de la forêt, aussitôt l'ombre ce fut plus présente, ici le soleil n'avait pas encore réussi à percer. Ils trottèrent ainsi quelques temps et alternèrent avec un pas serein, parfois sur des chemins, parfois dans les taillis vierge de toutes traces humaines et ce ne fut que lorsque la lumière ce fut plus présente qu'Arod s'arrêta.

      " Très bon choix. "


    Edwin flatta l'encolure du cheval qui plongea tête la première dans l'herbe grasse qui servait de tapis à un arbre plusieurs fois centenaires. L'homme descendit souplement faisant mollement voler sa cape de voyage. Il retira la selle et décrocha le mord après quelques secondes de "discussion" avec Arod pour qu'il daigne lever la tête et avaler la touffe d'herbe qu'il avait dans la bouche. Ceci fait, Edwin déposa l'équipement sur une des branches basse de l'arbre avant d'y grimper lui aussi. Il monta aussi haut que sa sécurité lui permettait et il put ainsi voir qu'il c'était surement écoulée environ 2h00 depuis qu'ils étaient partis du camp. L'homme jeta un coup d'œil au cheval, il savait que l'animal ne partirait pas loin et qu'il était le meilleure guetteur qu'il connaisse, c'est pourquoi Edwin s'installa confortablement sur son perchoir et observa le ciel. Le soleil s'était élevé et jouait à présent avec les feuillages, dessinant un jeu d'ombre et de clarté. La journée promettait d'être belle et c'était d'ailleurs cela qui avait décidé l'homme à partir.




Dernière édition par Edwin de Cors le Sam 4 Juil - 9:47, édité 2 fois
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Risque d'Hydrocution...
Mélusine

Mélusine

Risque d'Hydrocution...

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MessageSujet: Re: Une muse appelée rosée [Terminé]   Une muse appelée rosée [Terminé] EmptySam 21 Mar - 16:06

    La massue de Dadga. Dit comme ça, on pense à un objet magnifique. D’autant qu’elle suscite, aujourd’hui encore, une quasi-vénération de la part des générations anciennes. Et pourtant, basiquement, ce n’était qu’un gros morceau de bois sculpté qui servait à molester des crânes. Certes, c’était un cadeau divin. Certes, on lui attribuait maints pouvoirs et n’importe qui se serait senti invincible avec un pareil objet entre les mains. Pourtant, lorsque la massue avait été brisée par ces barbares insensibles de Fomoires, personne ne s’en n’était vraiment préoccupé. L’événement occupa les conversations pendant quelques mois, devint une légende avec le temps, mais enfin il ne déclencha aucun élan de fanatisme chez qui que ce soit. Mais il y avait Morgane. Et ses lubies. Et elle voulait récupérer chacun des morceaux de la massue, aussi insignifiants soient-ils. Pourquoi ? La reconstruire ? Utiliser leurs présumés pouvoir ? En faire du bois de chauffage ? Pour ça, la sorcière ne disait mot. Elle avait chargé ses chevaliers et disciples de parcourir les terres bretonnes avec acharnement pour retrouver et réunir les pièces en question. Dussent-ils tuer, torturer, (pire) soudoyer pour cela, que ça n’avait aucune importance. Seul comptait le résultat.
    Morgane avait offert à Mélusine une bille de verre, de la taille du point, censée réagir aux émanations magiques de tout être ayant été en contact, un jour, avec un morceau de la massue. C’était plutôt vague. Et les tribulations de la boule de verre avaient mené à bien des fausses pistes. A la longue, ça en devenait agaçant, si bien que lorsque l’artefact se mettait à briller de la bien connue lumière bleue, Mélusine l’ignorait, et cherchait par ses propres moyens. Une mise en garde de la part de Morgane suffit à lui faire regretter cette nonchalance. Elle avait donc résolu, à contre cœur, de suivre à nouveau les indications de la bille, laquelle ne manquait pas de caractère et d’un lunatisme proprement effarant.

    C’est ainsi que notre enchanteresse se retrouva ce jour-là à suivre une caravane de marchand, près d’une forêt. A bien y observer, ils ressemblaient plus à des troubadours qu’à des marchands. Aucune importance. Elle se contentait de le suivre sans grande conviction, la boule de verre serrée dans sa main, elle-même dissimulée sous la longue cape sombre qui la dissimulait aux regards de l’aurore. Elle avait terriblement froid, l’humidité des lieux n’arrangeait pas les choses. D’autant que, pour peu qu’elle y réfléchisse une seconde, cette longue marche silencieuse ne servait strictement à rien. Qu’espérait-elle au juste ? Voir sortir de la roulotte un homme ou une femme, soudain frappée par un rayon de soleil, et brandissant un morceau de la massue de Dadga comme une idole ? Un peu, oui. Ce qui arriva fut presque aussi bien. Le convoi s’était arrêté depuis quelques minutes lorsqu’une forme décida de se mouvoir parmi les autres formes indistinctes. Des voix, un cheval qui renâclait, les son de métaux s’entrechoquant, le cuir que l’on maltraite, le frottement des tissus… elle suivit du regard le cheval qui s’éloignait au pas du campement. A tout hasard, malgré le fait que son instinct lui avait déjà dicté la marche à suivre, elle regarda la bille de verre : elle s’était illuminée comme jamais. Lorsque Mélusine lui envoya l’image mentale de la forme s’éloignant avec le cheval, la bille vira au vert, chose nouvelle. Inutile d’hésiter. Tandis qu’elle s’éloignait rapidement, elle entendit des voix, qui parlaient d’un voyage vers Camelot.

    Elle disparut derrière un arbre, disparut de la vue d’éventuels spectateurs. Tandis qu’Edwin cherchait un endroit pour contempler, il ne pouvait se douter qu’on l’avait suivit. Elle courrait vite, en silence, se glissant d’arbre en arbre, de cachette en cachette, posant chacun de ses pas avec la légèreté d’un renard. Après ce qui lui parut être une éternité, deux heures en réalité, l’homme s’arrêta. Il libéra le cheval de ses entraves, avec une lenteur exaspérante pour la pauvre sorcière accroupie dans la cache humide d’un quelconque fourré. Inutile de préciser combien d’insectes s’amusaient à ramper sur sa peau en ce moment, tandis que la situation l’empêchait d’opérer le moindre mouvement. L’homme était de dos, finissant d’enlever le harnais de cuir de l’animal. Elle sortit de sa cape un long poignard, sans un bruit, dans un souffle à peine.

    Lentement, elle se redressa, ses yeux fixant résolument la cible inconsciente de la menace. Un pas, puis deux, la rapprochaient inexorablement de son but. Elle prévoyait déjà ses gestes. Elle saisirait son bras gauche, avec le plus de force possible, le tirerait en arrière pour qu’il perdre l’équilibre. Là, à sa merci, il pourrait sentir la lame glacée du couteau se placer sur sa gorge, et entailler sa peau au moindre mouvement. Elle lui poserait les questions nécessaires, et il lui répondrait… s’il tenait à mourir sans souffrances. Elle s’approcha encore, les muscles tendus, attentive au moindre son, à la moindre crispation de son corps. Un oiseau s’envola brusquement quelque part, elle s’arrêta. A quelques mètres, le cheval refusait d’avaler l’herbe qu’il mâchouillait calmement, et l’homme devait être patient pour pouvoir enlever le harnais. Ce temps offert était une aubaine. Elle mit son bras en position, fléchit les jambes plus encore, ne concentra plus son attention que sur le dos de l’homme qui venait, enfin de libérer l’animal. Et puis…


    _ MELUSINE !

    Ah, bon sang c’était douloureux. La voix de Morgane venait de résonner dans sa tête, comme si elle s’était trouvée dans une énorme cloche frappée d’un maillet. Oubliant une seconde la situation, elle cligna des yeux et eut une grimace qui faisait peine à voir. Morgane voulait qu’elle rentre au château immédiatement. En réalité, ce n’était même pas une demande. Mélusine apparaîtrait au château spectral dans la seconde suivante, par la magie de sa maîtresse. Elle eut tout juste le temps de regarder l’homme qui s’éloignait calmement, eut une expression de sincère lassitude…
    Elle savait où il se rendait, elle saurait le retrouver en temps et en heure.

    L’air se froissa, une fraction de seconde. La mousse sur laquelle reposait un pied, l’instant précédent, se regonfla. Mélusine avait disparut.

    La poisse.
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Edwin de Cors

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MessageSujet: Re: Une muse appelée rosée [Terminé]   Une muse appelée rosée [Terminé] EmptyDim 22 Mar - 15:09


    Le cheval semblait vouloir totalement ignorer les demandes répétés d'Edwin pour qu'il lève la tête. Mais l'idée plus que intéressante qu'il serait plus agréable de manger sans cette barre métallique dans la bouche lui vint à l'esprit et il consentit à redresser son encolure. Mais de tout évidence cela n'était pas assez car Edwin ne lui retirait toujours pas le mord, Arod s'empressa donc d'avaler la touffe d'herbe qui dépassait encore de sa bouche et bientôt il n'en resta plus rien. Enfin son cavalier décrocha la barre de fer et tandis qu'il faisait cela, l'animal capta quelques choses, c'était le mélange d'un son totalement inaudible pour l'homme et d'un pressentiment. Il tourna une oreille vers l'endroit d'où provenait ce phénomène avant de tourner son imposante tête pour voir ce qu'il se passait lorsque Edwin eu finit de lui retirer son mord. A sa grande surprise il n'y avait rien, ou plutôt il n'y avait plus rien car il avait la certitude qu'il y avait eu quelques choses là. Tandis que l'homme s'employer à attacher les rênes de façon à ce qu'elles ne glissent pas Arod acheva son quart de tour et observa, oreilles dressés l'endroit suspect.

    Ce n'est que lorsqu'il eu finit d'attacher les rênes qu'Edwin s'aperçut du comportement étrange de son compagnon. Il suivit le regard de l'animal mais ne vu rien. Les animaux percevaient tant de chose et Arod était le cheval le plus sensible qui lui était donné de rencontrer. L'homme en était venu à s'interroger sur ses origines car il était évident que la race de l'animal n'était pas commune. L'idée même qu'il soit un héritier des chevaux elfiques avait fait sa place dans son esprit. De toutes les connaissances qu'il avait sur la faune qui peuplait ces îles, Arod ressemblait énormément à ce qu'il savait sur cette race. Edwin n'avait aucun moyen de le vérifier et quand il avait demandé à Zacharie où il l'avait eu sa réponse avait été on ne peut plus commune: sur un marché, pour une somme on ne peut plus mince car l'animal était déclaré inmontable. Bref Edwin était tenu à des suppositions mais cela ne l'empêchait pas de se fier à l'animal et ce n'est que lorsque Arod se re-intéressa à l'herbe qu'il entreprit de grimper sur l'arbre.

    Ses muscles protestèrent à grand cris comme à leur habitude, la souplesse d'autrefois n'était plus, les multiples entailles avait eu raison d'elle. Mais cela n'empêcha pas Edwin de grimper, il c'était habitué à ne plus rien sentir. Bientôt il fut rendu à une hauteur tout à fait convenable, il dominait ainsi la plus grande partie de la forêt et ce n'était que dans le lointain que l'on pouvait apercevoir la pleine d'où il était venue. Assis contre le tronc, un bras posé sur son genoux, Edwin observa les nuages. Ce voyage vers Camelot le tourmentait, il ne savait quel chemin prendre mais il ne voulait pas attirer la curiosité de ses compagnons. C'est pour cela qu'il c'était éloigné, pour réfléchir seul, s'éclaircir les idées sur la marche à suivre. Il pouvait s'inquiéter pour rien, les chevaliers étaient morts et personnes ne pouvaient savoir qui il était et où il venait. Mais il ne fallait jamais sous estimer la magie et comment savoir si on ne l'attendait pas la bas ? De plus Edwin ne voulait pas mêler les Carpates à cela, chacun avaient déjà assez de problèmes à résoudre. Il ne devait pas y ajouter les siens. Mais où aller alors ? Voyager seul était difficilement envisageable pour lui, la solitude ne lui était bénéfique que par petite dose. Jamais il ne pourrait faire le chemin parcourut avec la troupe seul. Et s'établir dans un endroit était encore plus risqué car il serait plus facile de le retrouver si quelqu'un se m'était à sa recherche.

    Ce fut le renâclement d'Arod qui sortit Edwin de ses pensées, il prit tout d'un coup la mesure du temps qui s'était écoulé, le soleil avait changé de côté, il serait bientôt temps de reprendre le chemin s'il voulait rattraper les Carpates. L'estomac de l'homme se mit à se plaindre, pensivement Edwin déroula la bande de tissu noir qui recouvrait son bras et sa main. En plein soleil son bras était d'un blanc laiteux ce qui faisait énormément ressortir des fines cicatrices ainsi que d'autre traces d'origines diverses et variée. Il répéta l'opération pour l'autre bras qui était aussi bien "décoré" puis il sortit de sa besace de quoi casser la croûte.

    Ce ne fut qu'après qu'une longue heure se soit écoulé qu'Edwin redescendit. Les bandes de tissus avait retrouver leurs places autour de ses bras. L'homme re-installa la selle et le mord à leur place, Arod s'était quelque peu assoupi avec le soleil et toute l'herbe avaler. C'est pourquoi le couple reprit leur chemin dans un pas tranquille, le soleil commençait sa chute mais cela ne changea rien à leur vitesse. Qu'il fasse nuit ou jour, ils retrouveraient les Carpates. Ils sortirent de la forêt plusieurs heures plus tard après en avoir traverser une bonne partie. Le soleil dardait ses derniers rayons tandis qu'Edwin demanda à Arod d'accélérer le pas. Le cheval comprit le message avant même qu'il ne soit véritablement transmit et il prit un galop soutenue vers leur destination. Il s'écoula plusieurs minutes avant que la roulotte se dessine à l'horizon et il faisait nuit lorsque le couple arriva à destination.

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