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 Le soleil rayonnait pourtant... (Alwine)

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Alwine de Boron

Alwine de Boron

Vagabonde des Rêves dans les Flammes du Chaos

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83
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Là où m'emportent l'Ombre et la Flamme...

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MessageSujet: Re: Le soleil rayonnait pourtant... (Alwine)   Le soleil rayonnait pourtant... (Alwine) EmptyMer 2 Juin - 14:29

Alwine était bien vite revenue au château de Caamelot… Mais d’un autre côté, elle avait pour l’instant tant à y voir. Pas tant le lieu, qui serait bientôt entre les mains de Mordred, son si cher frère aîné, mais surtout pour les gens. D’une manière générale, pour contempler encore un peu ces nobliaux de la cour d’Arthur, et les voir s’écarter devant sa noblesse et sa beauté, et aussi pour voir si le mensonge lui créant une nouvelle identité de toute pièce avait bien prit, avec sa rectification nécessaire. Aux murmures qu’elle surprit de-ci de-là, c’était bien le cas, et ça lui fit plaisir : ainsi, elle n’aurait pas à se disputer avec Olympias à ce propos… De plus, les courtisans arthuriens ressemblaient tellement à des pies bavardes qu’elle pourrait bien entendre quelque chose d’intéressant, au passage.

Pour dire la vérité, elle s’amusait assez de la situation… Elle était encore bien jeune ! Et puis, elle avait des gens à voir, à un moment ou à un autre. Son amie, Olympias, tout d’abord, même si cela n’était pas urgent… Elles avaient encore beaucoup de choses à se dire, et la pyromane envisageait même assez sérieusement de passer une nuit ou deux dans sa chambre, pour des confidences entre filles. Mais il y en avait d’autres, qu’elle avait envie de voir. Pas spécialement son (demi-)oncle, ce porc répugnant, même si elle le ferait tôt ou tard, et encore moins son entourage, mais il y en avait dans le château de l’usurpateur dont la position ou l’existence même vaudraient certainement le détour. Pour le moment, on l’a dit, c’était surtout de la distraction : son père ne lui avait encore fixé aucune mission ici…

Se promenant au hasard de ses pas, balançant encore entre diverses destinations, la soi-disant macédonienne arriva jusqu’à l’arrière du complexe fortifier, à un endroit qui donnait sur les jardins que sa nouvelle - et seule - amie lui avait montré… Distraitement, elle parcouru l’endroit du regard, contemplant les nobliaux en dessous d’elle… Là où était leur vraie place. Le tout avec un certain amusement. Mais soudain, elle eu la surprise de distinguer une cascade de magnifiques cheveux blonds déjà familière, et de là il ne lui fallu que quelques instants pour identifier la belle blondinette, un sourire aux lèvres. La demoiselle d’Erec était visiblement en train de fleureter avec un assez beau jeune homme, et elle reconnu, d’après les propres description de l’intéressée, celui qui était probablement Lamorak. Bien, bien, elle n’irait pas la déranger pour le moment, il ne fallait pas faire obstacle aux plans de sa Fée de mère… Et de son stratège de père.

Néanmoins, penser à Lamorak lui fit penser, étrangement, à une autre personne, se souvenant de quelque chose que lui avait dit Morgane. Le chevalier avait une autre amante d’exception : Anna, la sœur de sa génitrice… Sa tante quoi ! Dès que ce nom se fût invité dans sa petite tête brune, la « Déesse » fût séduite par l’idée de lui rendre visite. Elle avait entendu beaucoup de chose sur la dame, qui en plus était de son propre sang, et elle avait dès le départ fait partie de sa liste de personne a rencontrer à un moment ou à un autre. Puisqu’elle n’était pas, de fait, avec son amant, le moment semblait bien choisit, tant qu’à faire… Et sinon elle saurait s’esquiver d’une pirouette. Et revenir plus tard, à une période plus propice.

Et voilà donc la fille d’Accolon qui se mit en route vers la demeure de sa tante. Elle croisa en chemin un groupe de pseudo-dames qui se mirent à caqueter quand elle leur demanda la localisation de la chambre en question… A caqueter avec une certaine rancœur, ce qui lui fit plaisir. Sa mère lui avait dit qu’Anna ne partageait pas les penchants noirs des autres femmes de la famille, mais visiblement elle savait se faire haïr de ces pauvres cruches. Alors oui, pour ceux qui se poseraient la question, Alwine et le respect des résidents de la cour d’Arthur en général, ça faisait deux. Peut-être même trois. Non seulement ils avaient mal choisit leur camp, mais leurs vies étaient tellement peu digne d’intérêt et leur noblesse tellement moins haute que la sienne qu’elle ne pouvait les considérer que comme inférieures. Non pas qu’elle le montre, d’ailleurs : la pyro-princesse était une actrice-née.

Finalement, après bien des détours, elle réussi à obtenir ce qu’elle voulait et s’échappa souplement - au sens figuré, s’entend - de la compagnie des pies. Plus ça allait, et plus elle comprenait que la vie d’Olympias en ce lieu devait lui être bien pesante ! Quelle plaie de devoir supporter ces gens aux quotidiens, et de devoir même s’intégrer à eux ! Par elle-même - puisqu’elle était à présent divinisée - quand les siens entreraient en possession de ce tas de pierre qui était légitimement leur, il y allait avoir du changement, foi de Flamme Sacrée ! Elle prendrait un grand plaisir à torturer physiquement et mentalement ces pauvres choses avant de leur faire débarrasser les lieux, en les calcinant ou, presque mieux, en les envoyant faire quelques travaux serviles… Où ils finiraient par trouver une fin rude et atroce ! Ô oui, vivement ce jour !

En attendant, elle était présentement arrivé à destination. Résolue, elle toqua fermement à la porte des appartements de la seule princesse « reconnue » en ces lieux, avant d’ouvrir la porte avec un franc sans gène, d’autant plus aisé que personne ne se trouvait dans les parages immédiats. Elle rentra une tête à l’intérieur.

« Dame de Gorlois ? »

Et, poussant plus loin le culot, elle fit suivre à son corps le même chemin que sa charmante tête avant de refermer le battant derrière elle. Pour l’instant, elle ne se dévoilerait pas : elle espérait que sa franche audace, sa beauté et sa noblesse évidente suffirait pour intrigué assez Anna, et de là lancer la conversation… Si elle révélait d’entrée de jeu leurs liens de sang, se serait beaucoup moins drôle, non ? Mais, bien sûr, Alwine ne savait rien de l’état d’esprit de son interlocutrice…
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Alwine de Boron

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MessageSujet: Re: Le soleil rayonnait pourtant... (Alwine)   Le soleil rayonnait pourtant... (Alwine) EmptyVen 11 Juin - 13:36

Sa tante se releva avec tant de vivacité qu’elle dû se retenir un instant à son accoudoir, et Alwine pu voir comment elle était belle. Anna n’était pas la sœur de Morgane pour rien, en vérité, et sa beauté confirmait que celle de la jeune femme, tout comme celle de sa mère, n’étaient pas simplement les fruits du pouvoir de la Fée, mais s’il était tout à fait possible que celle-ci ait un peu « aidé »… Si tant est qu’il en soit besoin le moins du monde, car l’apparence de la demi-sœur de l’infâme usurpateur n’avait pas été retouchée, sans aucun doutes possible, et était pourtant des plus présente… Et des plus noble, comme celle de sa nièce, et il y avait une grande dignité en elle.

« Jeune fille, seriez-vous perdue ? Rares sont celles qui me rendent visite. »

Première petite réussite : elle ne l’avait pas reconnue. Même si la pyromane pensait bien que son Enchanteresse de mère avait parlé d’elle à sa sœur - non, en fait elle le savait : sa génitrice l’avait mentionné - elle n’avait pas su jusqu’à quel point la description faite avait été détaillée. Visiblement pas trop, ou alors Anna n’envisageait vraiment pas sa venue ici… L’un dans l’autre, ça entrait dans son plan, si on pouvait appeler ça un plan, et tout était donc bien. Pendant qu’elle attendait finalement un peu son hôte, s’avançant à peine de quelques pas supplémentaires et restant un peu silencieuse, sa tante avait gagné la fenêtre pour regarder au-dehors, et les rayons du soleil augmentaient encore sa beauté éclatante.

« Non, vous n'êtes pas perdu jeune fille puisque vous avez prononcé mon nom. Il ne me reste plus qu'a vous demander qui êtes vous ? »

Tout en posant une seconde question, aillant répondu elle-même à la première, elle se retourna vers la damoiselle aux cheveux d’un brun si sombre et, souriante, retourna à grandes enjambées au banc d’étoffe dont elle s’était tout d’abord levé, pour y prendre place, toute de grâce et de noblesse.

« Je suis curieuse de savoir ce que vous me voulez, vous n'avez pas l'air de ces nobles ennuyeuses qui peuplent Camelot. Peut-être sera-t-il un plaisir de parler avec vous ? »

Elle l’espérait très sincèrement. Mais soudain, il lui apparu qu’avoir fait rectifier son prénom dans la rumeur d’Olympias n’était peut-être pas une si bonne idée que ça, après tout… « Alwine »… Si ça mère lui avait parlé d’elle, il y avait de grande chance pour qu’Anna tique sur ce nom. Et pourtant, elle n’avait pas envie d’en donner un autre. Oh, elle le faisait de temps en temps, mais ici, elle avait plutôt envie de jouer un peu… Qui sait, en enrobant bien ça, ça devrait passer…

« Votre Altesse. »

Et d’exécuter une gracieuse révérence, parfaitement réussie. Elle était tout de même la fille d’Accolon de Boron, il aurait été navrant qu’elle ne connaisse pas à la perfection toutes les petites mesquineries de la Cour, même si elle-même n’aurait à faire cela qu’en infiltration… Ou tout du moins incognito, comme ici. Les princesses de même sang ne se saluent pas entre elles, sauf quand l’une d’elle cachait un peu son jeu pour l’occasion…

« Je me nomme Alwine, Alwine de Fréjus, de Macédoine. Et, en effet, je ne me suis nullement perdue, même s’il m’a fallu un peu d’effort pour arracher l’emplacement de votre chambre entre toutes les mesquineries déversées sur votre compte par les pies bavardes de cet endroit… »


Avec un petit sourire, totalement adorable comme il se devait, elle s’approcha à son tour du sofa de sa tante, d’un pas souple et félin, quoi que pas aussi grand que celui de son interlocutrice. Elle pouvait bien laisser tomber un peu du vernis qu’elle maintenant plus ou moins dans les couloirs, jouant avec ces nobliaux sans grandeur comme avec autant de jouet de bois…

« J’espère que vous me pardonnerez de m’asseoir près de vous, Princesse, mais il me déplait de vous regarder de haut… Et puis c’est tout de même plus confortable, non ? »

Et beaucoup plus que les bancs de cette fichue chapelle ! Ah, ces « chrétiens » et leurs stupides idées… La « Déesse » savait bien qu’elle jouait gros en poussant si loin l’audace, car, après tout, sa tante ne savait pas, en principe, qu’elle avait devant elle sa nièce, mais que serait le jeu sans suspense, après tout ? Car c’était bien un jeu auquel elle se livrait avec sa parente, mais un jeu réciproque, et non pas une manipulation, comme pour les autres. Parce qu’elle n’était certainement pas comme les autres !

« À vrai dire, je suis en visite ici, et je suis venue vous voir… Avec un espoir. L’espoir que vous pourriez me recevoir de façon plus décente que le reste de cette stupide Cour… »


C’était de l’improvisation totale, et son père aurait certainement désapprouvé cela, mais ça faisait partie du jeu qu’elle avait lancé, et elle comptait bien continuer ainsi. Ca faisait le sel de la situation, ou tout du moins une partie…

« Comprenez-moi bien, je n’ais pas été « mal » reçue, on m’a fait bon accueil, et j’ai eu droit à plus que ma part de compliments flatteurs et même parfois sincère, surtout de la part des hommes. »


La teneur de ces compliments n’était pas difficile à imaginer, ce qui se cachait derrière non plus. Elle lâcha un soupir de la plus apparente sincérité, bien qu’elle soit encore assez jeune pour s’amuser de ces bêtises masculines.

« Ils ont tous dit tellement de mal de vous que… j’ai pensé que vous pourriez fournir une conversation moins… Décérébrée que la leur… Sans vouloir vous offenser, bien sûr. »

Bon, c’était un pari : le pari qu’Anna méprise autant qu’elle la Cour d’Arthur, qu’elle soit prête à discuter un peu avec elle… Et qu‘elle en ait envie ! Au pire, elle pourrait toujours se révéler…
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MessageSujet: Re: Le soleil rayonnait pourtant... (Alwine)   Le soleil rayonnait pourtant... (Alwine) EmptySam 3 Juil - 17:26

Certes, donner son vrai nom, ou même prénom, était un peu risqué comme manœuvre, vu que normalement Morgane avait dû annoncé la naissance des jumeaux à sa sœur… Mais sans un peu de risques, où irait-on ? Surtout dans une telle situation…

« Ainsi vous venez de Macédoine, mais plus précisément de quelle ville mon enfant ? Le temps devait être glacial dans ces terres. »

Nooooooon… Bien sûr, personne n’allait lui demander des informations sur la Macédoine… La prochaine fois qu’elle croiserait Olympias, elle aurait deux mots à lui dire. Elle devrait improviser un peu, puisque c ‘était comme ça ! Surtout que sa tante étant une princesse d’éducation « classique », il y avait même une chance pour qu’elle sache de quoi elle parle.

« Je suis une princesse et vous avez eu raison de vous incliner devant moi et de ne pas me regarder de haut mais vous auriez put aussi vous agenouiller à mes pieds. »

Moui, elle aurait aussi pu, mais il ne fallait pas pousser trop loin la comédie. Elle prétendait tout de même à une certaine noblesse, pas à être une nouvelle femme de chambre. Et elle n’avait donc pas à s’agenouiller devant moins qu’un Empereur… Ou c’était ce qu’elle décréterait être tradition macédonienne si le problème se posait, parce que le visage de sa tante ne garda pas son air sévère longtemps… Aurait-elle des soupçons ?

« Il est étrange comment vous me rappelez ma jeunesse. Oh je sais, vous allez me dire que je n’ai que 23 ans mais la vie à Camelot m’a, comme qui dirait, vieillit. »

Elle compatissait de tout cœur, vraiment… Bientôt, quand Mordred aurait prit place sur le trône, toutes ces épreuves seraient effacées, pour toutes les femmes qui avaient subit de telles choses… Et qui en valaient la peine. Elle ne montra pourtant rien de ses émotions, en parfaite petite actrice qu’elle était… Quant au rappel de jeunesse, ce n’était pas très étonnant : toutes deux ressemblaient assez à Morgane, chacune à leur manière, la fille et la sœur…

« Vous vous trompez jeune damoiselle, aucun de ces hommes n’a été sincère. Leur seul but est de vous flatter pour vous attirez dans leur lit, leur but n’est pas sincère et à partir de ce moment, même si leur flatterie se révèle vrai, ils ne sont pas sincère. »

Il y avait une certaine colère dans sa voix, et son regard avant qu’elle ne détourne les yeux vers les flammes. Aurait-elle été blessée par un rustre récemment ? Si oui, l’intéressé avait intérêt à se faire sérieusement pardonné avant de se retrouver en tête à tête avec Alwine… Elle avait la rancune tenace. Et enflammée. Surtout quand on touchait à sa famille.

« Quand à ces femmes nobles, elles sont simplement jalouses. Elles sont totalement inutiles à Camelot, leur seule activité est de dandiner des fesses devant un homme qu’il soit son mari ou non. Je suis persuadée qu’au fond d’elle, elles sont jalouses des femmes affirmant leur caractère, capable de pouvoir abattre un homme par son rang de princesse et que les hommes désirent secrètement. »

C’était sûr, ça. Comment ces stupides pies bavardes auraient-elles pu ne pas envier une femme telle que celle qui, se levant, la dominait maintenant de toute sa taille, drapée dans sa majesté et sa beauté, et n‘étant pas sans rappeler sa sœur…

« Si vous commencez à me dire pour quelle véritable raison êtes vous là ? Je suis la sœur de la grande Morgane et je sais quand on me ment jeune fille, une attitude que je ne pardonne rarement. »

Si elle n’avait pas été ce qu’elle était, elle aurait pu avoir peur. Mais si Anna était la sœur de Morgane, elle était sa fille aînée - et unique pour l’instant - et avait été élevée par elle. Ce qui faisait un solide point de comparaison pour relativiser toutes les menaces, finalement, même si sa Fée Rouge de mère ne lui aurait jamais fait de mal… De mal durable…

« Votre Altesse, je vous assure que je ne vous ais point mentit sur les raisons qui m’ont poussée à venir vous voir ! Je ne suis ici que pour discuter avec vous et, si vous le voulez bien, faire connaissance avec votre princière personne ! »

Ce qui n’était que la plus pure vérité. Bon, la vérité n’était pas tout à fait complète, mais il n’y avait pas le moindre mensonge dedans…

« Qu’est-ce qui vous fait penser que je vous ment, et comment pourrais-je vous prouver ma bonne fois, Altesse ? »
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